J’entends régulièrement qu’une victime de violence serait en partie responsable de ce qu’elle subit, ou a subi. De la bouche d’inconnus, de connaissances, d’amis, de thérapeutes, hommes ou femmes. Cette idée est assez suffisamment ancrée pour être répétée, souvent sans argumentation, comme le sont les croyances. Ce texte ne juge personne, il est au contraire …